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Nouvelle session de cours d'épigraphie égyptienne en novembre 2013

Hugues Perdriaud
L'auteur

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Une statue de Psammétique Ier inédite
Psammétique I
a
Psammétique I Psammétique I
b et c

Dans une propriété privée de Matareya, il y a de cela plusieurs décennies, à une date difficile à préciser, des ouvriers exhumèrent fortuitement d’une fosse remplie de sable la partie inférieure d’une statue antique mutilée [1].

L’urbanisation du Caire connaissait à l’époque une impulsion nouvelle, entraînée par l’afflux des populations rurales attirées par la capitale. La ville avait déjà entamé le processus de développement qui la conduirait bien au-delà de ses limites séculaires.

C’est ainsi que bon nombre de témoignages archéologiques, de plus ou moins grande importance, furent régulièrement mis au jour à l’occasion du creusement des fondations de bâtiments publics ou privés ou de l’aménagement de routes [2].

On n’accorda finalement qu’un intérêt limité et purement esthétique à la statue qui fut, dès lors, employée comme élément décoratif et pratiquement oubliée durant de nombreuses années.

C’est un peu par hasard qu’en 1998 j’ai été amené à m’y intéresser de plus près. Ma curiosité portait plus particulièrement sur l’existence d’une inscription de dédicace attribuant l’objet à Psammétique Ier, premier souverain de la XXVIème dynastie.

Si le règne de ce roi fut particulièrement long, cinquante-quatre ans [3], rares sont les éléments de statuaire qui ont traversé le temps pour le documenter [4].

Peut-être était-ce là un témoignage supplémentaire à prendre en considération.

Description générale

Il s’agit de la partie inférieure de la représentation d’un roi agenouillé sur un socle rectangulaire dont les mesures sont les suivantes [5] :

- base : longueur 52 cm, largeur 33,5 cm, épaisseur 12cm ,

- hauteur de la partie restante du pilier dorsal : 40,5 cm

- hauteur totale : 48 cm.

Le buste de la statue est brisé au-dessus du nombril, les bras posés sur les cuisses ont disparu, laissant de part et d’autre deux sillons dans la pierre.

Le matériau utilisé est un granit d’une tonalité générale beige foncé.

Le pharaon est vêtu du pagne Sndy.t, courant sur ce type de représentation, au plissé régulier remarquablement préservé. L’artiste s’est attaché à rendre le détail du modelé des mollets et des pieds soutenant le dos, ainsi que des orteils régulièrement écartés en appui sur le socle.

Les brisures montrent (plus particulièrement à l’emplacement du bras gauche) des arrondis allongés  au bout des membres disparus, arrondis évoquant la place des doigts. Ce détail pourrait, a priori, faire supposer que le sculpteur a choisi de figurer les mains posées à plat sur les cuisses et non paumes ouvertes tenant des vases nw. [6]

Il n’y a, cependant, à ma connaissance, aucun parallèle répertorié montrant ce type de posture appliquée à une statue royale agenouillée [7].

Deux inscriptions taillées en creux ont été conservées.

La première est gravée sur la face antérieure de la base, sur un espace ménagé devant les genoux. C’est une dédicace qui permet d’identifier clairement le pharaon Psammétique wAH-ib-ra :

2

n(y)-swt bjty, nb jr(.t) x.t wAH-jb-ra anx (=w) Dt

« Le roi de Haute et Basse Égypte, le maître de l’accomplissement des rituels, Ouah-Ib-Rê, vivant pour l’éternité »

La seconde, incomplète, est inscrite sur le pilier dorsal en une colonne unique :

4

[...] mry bAw iwnw [8] dj anx dt

«[ ... ]aimé des Baou d’Héliopolis, doué de vie pour l’éternité »

Un monument en provenance d’Héliopolis

Deux éléments semblent indiquer qu’il s’agit bien d’un monument héliopolitain : son lieu d’exhumation et l’emploi du terme bAw iwnw particulièrement évocateur.

Le site moderne de Matareya, où l’objet a été fortuitement découvert dans les circonstances précédemment évoquées, occupe en partie celui de l’Héliopolis antique et, plus précisément, de la zone d’extension de sa nécropole à l’époque saïte, richement pourvue en matériel funéraire.

En guise d’illustration, notons que le bloc de calcaire de la tombe d’Harbès publié par S. Bickel et P. Tallet [9], sur lequel ont été décelées des inscriptions grecques postérieures, provient aussi de la même zone et que son exhumation fut tout aussi accidentelle.

Les rares informations recueillies sur la localisation de la statue lors de sa découverte sont vagues et parfois contradictoires.

On retiendra qu’elle a été sortie d’une couche de sable comprise entre deux strates de terre ordinaire ne contenant rien d’autre de notable dans les parages immédiats. Les terrassiers de l’époque n’ont, cependant, guère dû prêter d’attention aux pelletées qu’ils évacuaient de leurs tranchées. Une fouille systématique du lieu aurait peut-être permis de trouver d’autres vestiges et  de dégager la partie manquante de la statue ou l’un de ses composants.

L’autre élément - le plus important - à prendre en considération est l’emploi du terme bAw iwnw conservé sur le pilier dorsal.

Il s’agit ici, non pas de faire un exposé sur l’origine de l’expression, ce qui dépasserait largement le cadre de cette étude, mais de montrer que son utilisation indique que la statue était originellement destinée à l’un des sanctuaires du domaine de Rê.

bAw iwnw est, vraisemblablement, un terme générique pour désigner l’ensemble des divinités recevant un culte à Héliopolis et non une catégorie spécifique de dieux  regroupant, en particulier, les rois-ancêtres déifiés [10]. Les baou disposaient d’autels pourvus quotidiennement en offrandes diverses [11].

Plusieurs monuments datant de la XXVIème dynastie, dont la provenance héliopolitaine est attestée mentionnent l’emploi du terme bAw iwnw accompagnant le nom royal comme ici. C’est le cas, notamment, pour deux sphinx au nom d’Apriès sur lesquels on peut lire : (...) nb tA.wy Haa-jb-ra, sA Ra, wAH-jb-Ra, mry bAw iwnw (...) [12], et pour un obélisque consacré à Psammétique II, visible à Rome [13].

Petite étude comparative

Sur le site du Sérapeum d’Alexandrie, à quelques pas de la célèbre « Colonne de Pompée » est exposée la partie inférieure d’une statue royale agenouillée, taillée dans un  granit gris-noir à la surface érodée par le temps et sur laquelle apparaît une veine de pierre nettement plus claire [14].

 

Psammétique I Psammétique I Psammétique I
d, e et f

Une partie du texte du pilier dorsal et du bandeau gravé sur le pourtour du socle est conservée, montrant à plusieurs reprises les cartouches de Psammétique wAH-jb-ra.

La ressemblance avec la statue du Caire s’impose immédiatement. Cependant, les deux pièces diffèrent par un certain nombre de détails :

- la couleur de la pierre, son état général de conservation ;

- la taille, légèrement plus grande ici : 76 cm de longueur de base pour 49 cm de côté ; avec une épaisseur de 14 cm ; hauteur totale de 50 cm ;

- les inscriptions, déclinées dans ce cas symétriquement sur le pourtour du socle et comprenant deux colonnes gravées sur le pilier dorsal ;

- le traitement plus soigné de la ceinture décorée d’entrelacs de lignes brisées ;

- le type d’iconographie choisi : le roi présentait un petit naos, comme cela est suggéré par les vestiges d’une protubérance de pierre appuyée simultanément sur le ventre et le pagne.

L’hypothèse du naos ne semble faire aucun doute, ni pour Breccia, ni pour Rowe. En tenant compte des fractures du granit, on aurait pourtant pu envisager, à la place d’une niche, une simple tablette soutenue ou encadrée par les bras du roi. Une statue d’Amenhotep II, conservée au Caire [15] montre, en effet, que ce type de représentation faisait partie du répertoire iconographique de la sculpture royale.

Cependant, et sur cette pièce précisément, la masse de pierre non évidée visible en appui sur le ventre est nettement plus importante que celle qui subsiste sur la statue d’Alexandrie. L’hypothèse de la tablette semble donc bien devoir être écartée.

Concernant les inscriptions, elles se déclinent sur deux zones :

1. Sur le socle, le texte reproduit les différents noms de Psammétique Ier, la partie postérieure du bandeau est effacée:

a. Côté gauche :

anx(=w) Hr aA-Jb, nbty nb aA, Hr-nbw qn, n(y)-swt bjty wAH-[jb]-ra [reste perdu] 

«Que vive l’Horus Aa-Ib, le Nebty Neb-Aa, l’Horus d’Or Qen, le roi de Haute et Basse Égypte Ouah –[ib]-Rê [...] »

b. Côté droit :

anx(=w) Hr aA-Jb, nbty nb aA, Hr-nbw qn, n(y)-swt bjty wAH-jb-ra, sA ra P[smtk] [reste perdu] 

«Que vive l’Horus Aa-Ib, le Nebty Neb-Aa, l’Horus d’Or Qen, le roi de Haute et Basse Égypte Ouah –(ib)-Rê, le fils de Rê P[sammétique] [...] »

2. Sur le pilier dorsal [16] :

a.Colonne de droite

6

[...] qn, n(y)-swt bjty wAH-jb-ra, sA ra Psmtk, nfr nTrr [mr(y) b3Aw iwnw (difficilement lisible)]

«  [l’Horus d’Or] Qen, le Roi de Haute et Basse Égypte Ouah-ib-Rê, le fils de Rê, sammétique, le dieu parfait [...] »

b. Colonne de gauche

8

[...] sA ra n(y) Xt=f Psmtk, nfr nTr, mry bAw iwnw, rd (=w) anx [Dt mj ra (difficilement lisible) ]

«  [Ouah-ib-Rê], le fils de Rê, de sa chair, Psammétique, le dieu parfait, aimé des baou d’Héliopolis, doué de vie [ comme Rê, éternellement]. »

Psammétique IUne remarque s’impose. En fin de première colonne, Breccia note deux cadrats de plus : mry bAw iwnw. À cet ensemble correspondrait, en fin de deuxième colonne, afin de respecter l’équilibre de la composition, le groupe mj ra Dt.

Il est possible que ces signes, pratiquement illisibles de nos jours, aient été moins altérés au moment où Breccia fit ses relevés (1905-1906), rendant alors leur lecture possible.

Mais il se peut également qu’il les ait déjà « restaurés » en suivant la logique du texte et la disposition symétrique des cadrats d’une colonne sur l’autre [17]. Ajoutons que Rowe mentionne d’autre part, sur la face antérieure de la protubérance de pierre du ventre de la statue, le signe mry , difficile à déchiffrer, dont la présence montre cependant que cette portion de granit était également légendée.

Cette expression mry bAw iwnw récurrente(que l’on retrouve ici deux fois)est employée dans la même formulation que sur la statue de Matareya : le dernier nom du roi,  Psmtk, est expressément placé sous la protection bienveillante des baou, de ces même divinités au culte desquelles l’image du souverain était destinée. Le monument, bien que découvert à Alexandrie, où il fut transféré à une époque ultérieure, provient effectivement lui aussi d’Héliopolis.

Les inscriptions de la statue du Sérapeum ainsi que l’aspect très formel et traditionnel de ce type de texte de dédicace permettent de compléter partiellement, sans trop de risques d’erreurs, le texte encore visible sur le pilier dorsal de son corollaire de Matareya et de proposer le fil conducteur suivant :

[...]n(y)-swt bjty wAH-jb-ra, sA ra Psmtk, nfr nTr, mry bAw iwnw, rd(w) anx, Dt.

En deçà, l’opération se révèle plus hasardeuse.

En tenant compte, néanmoins, de la taille des hiéroglyphes de l’unique colonne et la longueur initiale du pilier dorsal [18], on peut raisonnablement penser que le texte originel n’apportait aucune autre indication que l’énumération de certains des différents éléments de la titulature royale de Psammétique Ier.

La dédicace n(y)-swt bjty, nb jr(.t) x.t, wAH-jb-ra, anx(=w) Dt, gravée devant les genoux du pharaon, sur la face antérieure de la base, ressemble fort à une version condensée de cette liste de titres.

La formule nb jr(.t) « maître de l’accomplissement des rituels », qui y apparaît clairement était peut-être également visible sur le pilier. En revanche, elle ne semble pas avoir de parallèle sur la statue naosphore d’Alexandrie [19].

Même si elles furent taillées pour être destinées au même sanctuaire héliopolitain, celui où les baous recevaient leur culte journalier, sans doute à des époques différentes du règne, ces deux images royales n’y assumaient pas les mêmes fonctions.

Psammétique Ier est certes représenté, dans tous les cas, dans l’attitude convenue et traditionnelle du souverain agenouillé, mais il ne présente pas le même type d’objets rituels et cette différence iconographique n’était sûrement pas dépourvue de signification.

***

Bien qu’incomplète et amputée des portions les plus évocatrices - le buste, la tête et les bras - qui auraient permis une étude, notamment stylistique, plus approfondie, la base de statue découverte fortuitement à Matareya n’en demeure pas moins un témoignage à prendre en considération car elle présente un triple intérêt.

Elle constitue, en premier lieu, une preuve supplémentaire de l’activité héliopolitaine du règne de Psammétique Ier, que l’on connaît par ailleurs, mais qui demeure actuellement si peu illustrée du point du vue de la statuaire. 

Elle donne, ensuite, un relief nouveau à la statue du Sérapeum qu’elle sort du relatif isolement propre aux témoignages épars pour la rattacher à un ensemble plus cohérent, celui des monuments héliopolitains de ce souverain.

Elle tend, enfin, à confirmer que la politique d’embellissement et de restauration des sanctuaires de la ville de Rê menée par le roi dut être importante et soutenue, ce que son exceptionnelle longévité rendit possible.



Mes remerciements vont à messieurs P. Tallet et P. Gallo pour les informations bibliographiques qu’ils m’ont communiquées ainsi qu’à monsieur J-Cl. Dégardin pour m’avoir facilité l’accès à la bibliothèque du Centre de papyrologie et d’Égyptologie de l’université de Lille III.

[1] Aucun document publié, à ma connaissance, ne relate les faits dans le détail. Il faut s’en remettre aux vagues souvenirs des témoins encore en vie qui veulent bien en parler.

[2] Pour s’en convaincre, il suffit de considérer le nombre d’objets, notamment funéraires, découverts jusque dans les années 1980. Cf. M. Abd el-Gelil, M. Shaker, D. Raue, « Recent Excavations at Heliopolis », Orientalia  65, 1996, Rome, p. 136-146.

[3] Pour un aperçu des principaux événements du règne, cf. N. Grimal, Histoire de  l’Égypte ancienne, Fayard, Paris, 1988 p.457-464 et A. Spalinger, « Psammetichus I », IV, p.1164

[4] Cf. S. Bickel, «  La statue d’un roi Psammétique reconstituée », BIFAO 95, 1995, p. 95 et note 17 pour  le détail des pièces connues et leur bibliographie.

[5] Cf. photos a et b.

[6] Pour un parallèle iconographique complet et particulièrement évocateur, voir la statue de Thoutmosis III, J.E. le Caire n° 42055. Cette statue montre le roi agenouillé sur une figuration des « Neuf Arcs », coiffé du némès et présentant des vases-nw. Un bandeau comparable à celui étudié ici est gravé devant ses genoux, sur la face antérieure du socle, cf. J.Vandier, Manuel d’archéologie égyptienneles grandes époques, la statuaire, Paris, 1958, III p.303 (partie 1) et pl. XCIX (partie 2).

[7] A propos de considérations générales sur la statuaire de la XXVIè dynastie, cf S.B. Schubert, « Realistic Currents in Portrait Sculpture of the Saïte and Persian periods in Egypt », JSEEA 19, 1989, p.29-34 ; K. Mysliwiec, Royal Portraiture of the Dynasties XXI-XXX, Mayence, 1988, p.46.

[8] On remarquera l’antéposition honorifique dans le texte hiéroglyphique, photo c .

[9] Cf. S.Bickel, P.Tallet, « La nécropole saïte d’Héliopolis. Étude préliminaire », BIFAO 97, 1997,  p.69-76.

[10] Pour l’ensemble de la question, les principales thèses et les notes bibliographiques, se reporter à BIFAO 97, op.cit. supra, p.43-44. Noter, de plus, que R.O. Faulkner traduit le terme b3w iwnw par  « âmes des anciens rois » :  A Concise Dictionnary of Middle Egyptian, Griffith Institute, Oxford, 1962, rééd.1991, p.77.

[11] Le « bloc de Bab el-Nasr » s’en fait d’ailleurs l’écho : S.Bickel, M.Gabolde, P.Tallet « Des annales  héliopolitaines de la Troisième période intermédiaire », BIFAO 98, 1997, p.31-50.

[12] Cf. G.Daressy, « Inscriptions hiéroglyphiques du musée d’Alexandrie » ASAE 5, 1905, p.127,    référence XL.

[13] Cf. E.Iversen, Obelisks in the Exile, Warminster, 1968-1972, II, p. 142.

[14] Cf. photos d, e et g . N° 20950, n° d’exposition 347. Deux chercheurs ont étudié et publié l’objet dans la première moitié du XXè siècle (cf PM, IV, p.3) : il s’agit de E.Breccia, « Les fouilles dans le Serapeum d’Alexandrie, 1905-1906 », ASAE 8, 1908, p.64 et A.Rowe, « New Excavations at « Pompey’s  Pillar » site », BSAA 35, 1935,  p.134 puis 154-155 et pl.XXXIII.

[15] J.E. n° 42073, J.Vandier, Manuel, III, op.cit.,p.306 (première partie), pl. C (deuxième partie).

[16] Le choix a été fait ici de reproduire le texte hiéroglyphique afin de pouvoir le mettre en relation avec  celui de la statue de Matareya et de faciliter ainsi la comparaison. Photo f.

[17] Ce point est vérifié par la présence, dans la publication de Breccia, de deux autres signes - la fin du cartouche royal et l’idéogramme nbw (pourHr-nbw ?) - précédant ce qui subsiste de la première colonne de texte. Or, la cassure de la pierre a emporté ces inscriptions. Breccia les a donc replacées, guidé par la logique.

[18] Bien que celle-ci puisse varier selon le type de coiffe qu’arborait la statue, il est vraisemblable que les inscriptions ne dépassaient pas le niveau des épaules. En l’absence d’éléments révélateurs comme, par exemple, un morceau de la partie supérieure de l’objet, il est impossible d’en savoir plus. À propos des piliers dorsaux à l’époque saïte, cf. H.W.  Müller « Ein Königsbildnis der 26 Dynastie... », ZÄS 80, 1955, p.51-56, cité par S.Bickel dans BIFAO 95, op.cit. p.94, note 9.

[19] Encore qu’il convienne de demeurer prudent, considérant l’importance de la partie manquante du texte  initial.

11/2009, Hugues Perdriaux.


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Nota bene
Cet article a demandé de longs travaux de recherches, et reflète les opinions scientifiques de l'auteur. Il est régulièrement mis à jour. Merci de ne pas le copier sans autorisation, la mention du nom de l'auteur et un lien vers cette page.

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